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The Greatest Happiness Principle Party met en scène une fête fictive, offerte par l’Institut de Crédit autrichien, en 1931. À cette époque, la banque était très impliquée dans la spéculation financière dans les Balkans. La fête a lieu à la veille de la banqueroute de l’institution. Celle-ci entraînera la deuxième grande récession économique mondiale. La scène présente un ensemble de personnages dont les conversations traitent, entre autres, du Fabric of Felicity de Jeremy Bentham, une doctrine utilitaire du bonheur. Derrière eux, deux préposés au vestiaire mènent une enquête militante sur les conséquences de cette faillite – dont l’une des premières est l’impact qu’elle a eu sur les stratégies européennes du capital allemand et l’établissement du Fond Monétaire International – et au-delà, sur le développement de l’économie de marché.